Real Madrid : Vinicius régale contre Levante, « L’un des plus beaux buts que j’ai marqués de l’extérieur du pied »
Un geste du pied extérieur qui illumine un soir madrilène. Le stade retient son souffle, puis l’explosion. L’ailier transforme une ouverture en bijou technique, sans forcer, avec sang-froid. Les regards se tournent, la joie affleure, la confiance aussi. Vinicius savoure, simple et offensif, et promet de poursuivre sur cette lancée. Le reste suivra, parce que l’envie colle à chaque course.
Pourquoi Vinicius change le rythme et éclaire le Real
Mardi soir, pour la 6e journée de Liga, le Real s’impose 4-1 à Levante. À l’extérieur, le succès pèse. Après son bijou du pied extérieur, Vinicius affiche un grand sourire. Il parle d’un geste rare, soigné, frappé avec confiance. Les supporters applaudissent, le banc se lève, l’onde gagne toute l’équipe.
Il confie vouloir répéter ce type d’inspiration, sans surjouer, juste avec lucidité. Il insiste sur la précision, la trajectoire, le timing, parce qu’un tel tir exige tout. Le cadre arrive, l’équilibre tient, la frappe part. La joie est simple, maîtrisée, presque pudique, et pourtant le message est clair.
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Xabi Alonso souligne une prestation pleine à l’extérieur, jamais évidente au Ciutat de València. Il salue le sérieux collectif, la discipline, la solidarité dans les transitions. Aux instants clés, l’équipe répond, et certains prennent leurs responsabilités. L’entraîneur valide le contenu, la qualité, et bien sûr les trois points.
Le message de Xabi Alonso et l’élan de Vinicius
La frappe de l’extérieur du pied exige une posture précise, un appui stable, un fouetté court. Le ballon part vite, sans télégraphier l’intention, et surprend le gardien. L’angle se ferme, pourtant la trajectoire s’ouvre, rase la pelouse, puis monte. Ce geste, maîtrisé, révèle confiance, travail, et lecture instantanée.
Autour, le couloir gauche vit, les appels tirent la défense et fixent le pressing. Les relais s’enchaînent, le tempo varie, la circulation s’aère. Vinicius attire, aspire, redistribue. L’équipe avance haut, puis temporise, afin de ne pas rompre l’équilibre. Le banc suit le plan, et renforce l’intensité.
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Xabi Alonso demande du sérieux, des efforts sans ballon, et des transitions propres. Le vestiaire adhère, propose, corrige, parce qu’une saison se gagne sur ces détails. Le jeune Mastantuono marque et souffle un « C’est incroyable ». Le groupe sourit, puis se remet vite en place, déjà tourné vers l’exigence.
Ce qu’il faut retenir du match et des temps forts
Bousculé au début de chaque période, Madrid reprend la main, puis déroule. Le tournant intervient à l’heure de jeu. Penalty sifflé pour une faute sur l’avant-centre, transformé d’une panenka à la 64e. Deux minutes plus tard, lancé plein axe par Güler, il efface Ryan et signe le doublé.
Le tableau de bord parle clair. 62 % de possession, 20 tirs dont 9 cadrés, contre 11 tentatives et 2 cadrées. Courtois reste vigilant, capte les centres, rassure. Bellingham tente un lob après une glissade adverse, sans succès. Les entrants verrouillent le tempo, et l’adversaire baisse d’un ton.
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Dans le temps additionnel, Ryan réussit une parade et prive Vinicius du doublé. La marque reste large, et le Real aligne une sixième victoire en six journées. Le vestiaire retient la maîtrise, l’efficacité, ainsi que les phases calmes. Quatre jours avant le derby, l’élan existe, et la confiance s’installe.
Cap sur le derby, confiance consolidée et exigences toujours élevées
Ce succès relance l’appétit et fixe des repères forts. L’équipe assume un jeu direct, puis patient, selon les moments. La rigueur demandée par le staff devient une habitude, la créativité s’épanouit sans perdre la mesure. Vinicius incarne ce fil tendu entre audace et contrôle. Le groupe avance, prêt pour la suite et pour des exigences plus hautes. Le calendrier resserré impose du rythme, cependant la boussole reste claire.
